Le blog de Dr. Kapitao Mbombe

Thème :   la grâce des générations

Ecritures : 1 Samuel 25 :28 ; Esaie 8 :18

Vérité fondamentale : Vos qualités seront transmises aux générations futures.

Chaque fois que nous prenons une bonne décision, que nous résistons à la tentation, que nous honorons Dieu et que nous posons le bon geste, non seulement nous nous élevons, mais nous facilitons la vie des générations futures. On peut envisager la question  ainsi : chacun a un « compte » spirituel. Par notre façon de vivre, nous accumulons de l’équité ou de l’iniquité. L’équité englobe tout ce qui est bien : notre intégrité, notre détermination, notre divinité. C’est notre capital de grâce. L’inverse, il y a l’iniquité, c’est-à-dire nos mauvaises habitudes, nos dépendances,  notre égoïsme, notre indiscipline. Tous ces éléments, bons ou mauvais seront transmis aux générations. Même si vous n’avez pas d’enfant, vous survivrez tout de même à travers les êtres que vous influencez. Tout ce que vous êtes, vos habitudes, vos attitudes, tout sera transmis. Nous devons comprendre que les générations sont reliées. Vous semez en ce moment même des semences pour les générations futures. Que vous en soyez conscient ou non, tout ce que vous faites compte. Chaque fois que vous persévérez, que vous faites de loyauté, que vous vous mettez au service d’autrui, vous agissez concrètement : vous accroissez la grâce déposée dans le « compte » de votre descendance. Vous devez  apprendre à penser davantage en fonction de votre descendance. Vous donnez le meilleur de vous-même ?  Vous ensemencez pour ceux qui viendront après vous. Vous ne verrez peut-être pas toute la récolte de votre vivant. Il est possible que vous semiez vos graine afin qu‘un de vos enfants ou de vos petits-enfants accomplisse quelque chose de formidable. Que cela ne vous décourage pas ! C’est l’héritage de votre famille. Ce n’est pas seulement votre vie que vous transformez : c’est votre lignée, littéralement. Vos qualités seront transmises aux générations futures. Vous avez un grand rêve ? N’oubliez pas que Dieu a peut-être semé cette graine en vous pour que vous commenciez à le réaliser, et que vos enfants et vos petits-enfants pourront l’amener plus loin que vous l’auriez cru possible. Abigaïl a rajouté : « Je t’en prie, pardonne la faute de ta servante, car l’Eternel fera à mon seigneur une maison stable » (1 Samuel 25 :28). Abigaïl disait à David : »Je sais que tu as le droit d’être en colère. Je sais que mon époux, t’a rendu le mal pour le bien, mais si tu n’en tiens pas compte, si tu prends la voie de la vertu, je sais que Dieu te bénira pour les générations à venir. Je sais qu’Il te donnera une maison stable. David a ravalé son orgueil, rebroussé chemin et passé l’éponge. Il a laissé tomber et Dieu l’a béni, ainsi que sa descendance. Vous me direz peut-être : « J’ai  absolument le droit d’être aigri. J’ai dû endurer tellement de souffrance  et d’injustices. Oui, vous avez peut-être une bonne raison pour justifier vos sentiments et réagir négativement. Je vous demande néanmoins de prendre la voie de la vertu. Ne succombez pas à la négativité, car elle se mêlera à votre sang et se transmettra à votre descendance. Vos enfants et vos petits enfants ont déjà bien assez d’obstacles à surmonter sans que vous en rajoutiez. Vous avez le pouvoir de faciliter la vie des vos descendants et vous avez le pouvoir de vaincre les mauvais choix de vos ancêtres. Les offenses que vous pardonnez, les mauvaises habitudes que vous perdez, les victoires que vous remportez, faites-le non pour vous seulement, pour vos enfants, vos petits-enfants. Je crois que le sang du  Dr Kapitao Mbombe dira : foi, amour, mariage heureux « libala eza bien » respect, intégrité, détermination, persévérance, piété, générosité, grâce, triomphe. Léguez à votre descendance un héritage de bienfaits. Moi Kapitao Mbombe , pasteur millionnaire,   et mes enfants millionnaires, nous sommes des signes. (Es 8 :18).

Le Rhema du jour : « Heureux  ceux qui procurent la paix,  car ils seront appelés fils de Dieu » (Matthieu 5 :9). Quiconque se met au service de la paix, exerce une profession noble.  Dans la vie, ce sont nos relations qui importent – avec Dieu, notre conjoint ou notre conjointe, nos enfants, les membres de notre famille élargie, nos amis, les membres de notre équipe ou de notre collectivité. Or, trop souvent, on relègue ses relations beaucoup plus bas qu’elles ne le méritent sur la liste de ses priorités. Si on manque de vigilance, il pourrait arriver qu’on laisse quelqu’un ou quelque chose creuser un fossé entre soi et ceux qu’on aime. Pour avoir des relations saines, il faut apprendre à éviter le conflit. Dieu a fait de nous des êtres uniques. Nous avons une personnalité et un tempérament bien à nous, nous abordons les situations différemment ; nous ne devons donc pas nous étonner d’avoir des différends à l’occasion. Hélas, trop souvent lorsque quelqu’un ne partage pas notre opinion, ou ne voit pas une situation du même œil, nous nous énervons et nous laissons fermenter le conflit. Un constant est que lorsque quelqu’un n’est pas exactement comme moi, ou ne fait pas les choses à ma manière, ne signifie pas nécessairement que j’ai raison et qu’il a tort. Nous sommes tout simplement différents et nos différences engendrent parfois des frictions. Il faut de la maturité pour s’entendre avec quelqu’un qui est différent de soi. Il faut de la patience pour ne pas se vexer pour un rien. Si nous avons pour objectif d’éviter le conflit, nous devons apprendre à donner à donner le bénéfice du doute aux autres. Il nous faut aussi passer par-dessus certaines choses. Tout le monde a ses défauts, ses faiblesses. On ne devrait pas s’attendre  à la perfection chez les gens avec qui  l’on est en relation. Peu importe à quel point quelqu’un est formidable, à quel point vous l’aimez, il vous fournira l’occasion de prendre la mouche si vous le côtoyez assez longtemps. Un conjoint, un patron, et même un pasteur ou leader parfait n’existe pas. Quand on a des attentes irréalistes envers les aoutres et qu’on s’attend à la perfection, c’est injuste pour eux et frustrant pour soi. On est toujours déçu. Certains ont des règles : « Je vais t’aimer tant que tu ne me blesses pas, tant que tu ne commets pas d’erreur ». « Tant que tu feras les choses à ma manière, je t’accepterais et je serai heureux ». C’est extrêmement injuste, et quelle pression pour l’autre. La Bible nous enseigne que l’amour pardonne les faiblesses d’autrui. L’amour couvre toutes les fautes. Autrement dit, vous devez passer outre certaines choses. Cessez d’exiger la perfection de votre conjoint de votre conjointe, de vos enfants du reste de votre entourage : apprenez à faire preuve de bonté. N’oubliez pas que l’amour couvre la faute. Plutôt que de vous vexer du comportement de votre conjoint et de rester irritée toute la journée, réfléchissez au fit qu’il n’était peut-être pas en forme. Il a peut-être trop de pression au travail, ou il vit du stress, pour une raison ou une autre. Plutôt que de le critiquer et de le condamner, donnez-lui le bénéfice du doute et croyez à ce qu’il a de meilleur. Cesser de tenir la liste des vexations ou des offenses dont vous êtes soi-disant victime ; jetez ce registre négatif aux ordures et concentrez-vous sur le bon côté des choses. Choisissez d’être un artisan de paix. Dieu vous a délibérément associée à un homme très différent de vous. Votre partenaire et vous aves des forces et des faiblesses très différentes, mais idéalement, vos forces compenseront ses faiblesses et ses forces compenseront vos faiblesses. Vous êtes complémentaires. Vous devriez vous compléter plutôt que de vous diminuer. Vous êtes plus puissants ensemble que vous ne l’êtes séparément. Toutefois, vous devez étudier votre partenaire et découvrir ce qu’il aime et ce qu’il déteste, découvrir ses points sensibles et par la suite, ne pas laisser vos faiblesses respectives semer la zizanie dans votre relation. Quand vous couvrez les faiblesses de votre partenaire et que vous faites de votre mieux pour éviter le conflit, vous semez une graine pour que Dieu travaille sur lui ou sur elle. N’oubliez pas que vous ne pouvez pas changer les gens, seul Dieu en est capable. La Bible nous enseigne que l’on doit s’adapter pour garder la paix. (Romains 12 :16).  Elle ne dit pas que les autres devraient s’adapter et se plier à nos dictats. Non. Pour que la paix règne, nous devons être prêts à changer. Et ne dites pas : « Si ma femme faisait ce que je lui demande, nous l’aurions, la paix ». « Si mon mari ramassait ses affaires, nous nous entendrions bien ». « Si mon patron ou mon pasteur me traitait convenablement, je ne serai plus aussi impoli ». Non, c’est à vous de vous adapter pour faire régner la paix. Autrement dit, vous devrez parfois ravaler votre orgueil.  Pourquoi ne pas ramasser les chaussures de votre mari, tout simplement ? Par contre, n’allez pas ensuite claironner que vous l’avez fait. « Je voulais juste te dire que j’ai ramassé tes chaussures encore une fois, comme je le fais tous les jours ». Non, Rangez ses chaussures et n’en parlez pas. Vous n’en êtes peut-être pas consciente, mais vous honorez Dieu chaque fois que vous faites votre part pour ne pas créer de conflit. Et lorsque vous honorez Dieu, Il vous honore toujours en retour. Le secret consiste à s’adapter. Vous devez être prêt à vous adapter à l’autre. Cessez d’attendre que l’autre le fasse ; soyez plutôt l’artisan de la paix dans votre famille, dans votre milieu de travail, dans votre église, etc. Mon ami, en ravalant votre orgueil et en agissant de manière à éviter le conflit, vous semez les graines de l’avancement et des bienfaits divins. En agissant ainsi, vous verrez vos relations s’épanouir. Dieu a dit : « Heureux les artisans de paix. » Si vous adoptez cette attitude, vos relations interpersonnelles deviendront de plus en plus satisfaisantes. Bon début de semaine et que Dieu vous bénisse.

De la part du pasteur millionnaire, Coach Dr. Kapitao Mbombe, Top Leader.

Thème : le compte relationnel

Ecritures : Romains 13 :8

Vérité fondamentale : N’ayez aucune dette sinon celle de l’amour.

On ne devrait jamais rabaisser quelqu’un qui a tenté de faire quelque chose de grand, mais qui a échoué. On ne devrait jamais se montrer condescendants envers autrui, que ce soit son conjoint, un collègue ou un enfant. Traites les gens avec respect. N’oubliez pas que le véritable amour pardonne des fautes. Il excuse les erreurs. Il voit le meilleur de l’autre. Si vous voulez faire un très gros dépôt dans le compte de quelqu’un, ignorez l’erreur qu’il a commise et dont il est conscient. N’embarrassez jamais un enfant devant ses amis ou les autres membres de sa famille. N’embarrassez jamais un  enfant devant ses amis ou les autres membres de sa famille. N’embarrassez jamais un employé devant ses collègues. Si vous devez confronter quelqu’un, faites-le en privé,, dans la mesure du possible, et faites de votre mieux pour ne pas égratigner sa dignité. On n’obtient jamais rien de bon en embarrassant ou en humiliant quelqu’un devant autrui. En humiliant la personne que vous auriez pu couvrir, vous ponctionnez votre compte conjoint et détruisez la confiance, et la loyauté qui existaient entre vous. Le leader prends l’entière responsabilité des erreurs commises par ses collaborateurs  Si vous faites un très gros dépôt dans votre compte conjoint en protégeant la réputation  de vos coéquipiers et en couvrant leurs erreurs,  alors ces derniers feront n’importe quoi pour vous . Si vous voulez des amitiés durables et des amis fidèles, si vous voulez tisser des liens de confiance, apprenez à protéger les membres de votre famille et vos amis, même lorsqu’ils commettent des erreurs. Apprenez à faire preuve d’indulgence. Acceptez le blâme même si vous n’êtes pas fautif. Faites votre possible pour protéger une réputation. N’embarrassez personne si vous avez l’occasion ou les moyens de lui donner du renforcement positif. Bien entendu, il n’est pas question de former les yeux sur le mal ou de couvrir un méfait intentionnel. Par contre, s’il s’agit d’une erreur ou d’un échec d’une personne avec qui vous avez un compte conjoint, agissez avec délicatesse et intégrité  pour garder votre relation intacte. Nous devrions faire des dépôts partout ou nous passons. Prenez l’habitude  de semer des bienfaits  dans la vie d’autrui. Assumez le mandat d’aider votre prochain à se sentir mieux dans sa peau. Intéressez-vous à l’autre. Prenez le temps de lui faire savoir que vous vous souciez de lui. Faites un effort pour lui prouver qu’il vous est cher. Encouragez-le d’une façon quelconque. Faites-lui sentir qu’il est important, montrez-lui que vous vous intéressez à lui. Apprenez à avoir de l’estime pour autrui. Apprenez à dire merci. Ce n’est pas parce qu’on est votre employé que vous n’avez pas à faire preuve de reconnaissance. Apprenez à faire des dépôts positifs dans la vie des gens. Ne faites pas l’erreur de vivre comme un égoïste au quotidien, pressé par vos préoccupations personnelles. Prenez le temps d’être avec les gens. Faites-leur sentir qu’ils sont remarquables. Apprenez à les apprécier à leur juste valeur. Faites un dépôt en choisissant chaque jour une personne à encourager. : « J’apprécie beaucoup que tu sois mon ami. Cela signifie beaucoup pour moi ». Je suis persuadé que lorsqu’on sème des bontés dans la vie des gens, ils ont le goût d’avoir des bontés envers vous. Plutôt que d’essayer de voir ce que les autres peuvent faire pour vous, commencez à penser à ce que vous pouvez faire pour les autres. Faites des dépôts partout où vous allez. Soyez un donneur, plutôt qu’un preneur. Alors, non seulement vos relations s’amélioreront mais vous aurez une vision plus large de la faveur de Dieu et vous recevrez davantage de Ses bienfaits.   Dieu place délibérément des gens sur notre chemin pour que nous les aidions à réussir et que nous les encouragions à accomplir leur destin divin. La plupart des gens n’exploiteront jamais leur plein potentiel, à moins qu’une personne ne croie en eux. Ce qui veut dire que nous avons vous et moi, une mission. Partout où nous allons, nous devrions encourager les gens, les renforcer, les inciter à tendre vers des nouveaux sommets. Les gens que nous croisons devraient nous quitter meilleurs. Plutôt que de se sentir démoralisés ou abattus, ils devraient se sentir inspirés et capables après avoir passé un moment avec nous. La Bible dit bien que l’amour est plein de bonté, c’est-à-dire l’amour cherche des moyens d’améliorer la vie d’autrui. L’amour est une dette que nous avons envers chacun et que nous ne pourrons jamais la payer . Au nom de Jésus !

Le Rhema du jour : «  Mais exhortez-vous les uns les autres chaque jour… » (Hébreux 3 :13). Plutôt que d’essayer de voir ce que les autres peuvent faire pour vous, commencez à penser à ce que vous pouvez faire pour les autres. Faites un dépôt avant un retrait. Faites des dépôts partout où vous allez. Soyez un donateur, plutôt qu’un preneur. Alors, non seulement vos relations s’amélioreront, mais vous aurez une vision plus large de la faveur de Dieu et vous recevrez davantage de Ses bienfaits. Investissez dans vos relations, voilà ce que nous voulons dire en d’autres termes dans le rhema du jour que nous partageons avec vous depuis un certain sur les principes relationnels. Si vous voulez des relations épanouies, vous devez vous investir en étant celui qui donne, plutôt que celui qui prend. Partout où vous allez, faites un effort pour investir dans vos rapports humains, en encourageant ceux que vous côtoyez, en les soutenant et en les aidant à se sentir bien dans leur peau. Les gens difficiles ne déposent rien dans leurs relations ; ils sont trop occupés à faire des retraits. Ne vous méprenez pas ; ce n’est pas grave d’être abattu et démoralisé à l’occasion. Tout le monde a le droit de ne pas être dans son assiette de temps à autre.  Mais, cela devient un problème quand c’est toujours le cas. Vous n’aurez pas de bonnes amitiés si vous passez votre temps à drainer les réserves émotionnelles de votre entourage. Il faut savoir que les membres de votre famille, vos amis et vos collègues de travail ou dans le ministère ne veulent pas vous entendre parler constamment de vos problèmes. Ils ont assez des leurs. Leur fardeau est déjà assez lourd sans que vous y ajoutiez le vôtre. Si vous parlez toujours de ce qui ne va pas votre vie ou des malheurs que vous infligent les gens ou les circonstances, vous vivez en égoïste. Remplacez « qu’est-ce que vous pouvez faire pour moi, » par « qu’est-ce que je peux faire pour vous ? « Comment puis-je améliorer votre vie, Comment puis-je vous encourager ? » Faites en sorte d’investir dans les gens, plutôt que de ponctionner leurs réserves émotionnelles sans discontinuer. Chacune de nos relations est une sorte de « compte émotionnel » « compte conjoint » ou « compte affectif ». Coach Dr Kapitao Mbombe a un compte pour chaque personne avec qui je suis en relation, qu’il s’agisse d’un membre de ma famille,  d’un collaborateur ministériel, d’un associé professionnel, de mes amis, et même de certaines personnes que je croise en passant. J’ai un compte émotionnel avec le pompiste, avec le serveur de restaurant, que les encadreurs à l’église par exemple. Chaque fois que j’entre en relation avec l’un d’eux, je fais un dépôt ou un retrait dans leur compte. Comment faire un dépôt ?  Aussi simplement qu’en prenant le temps d’aller vers quelqu’un pour lui serrer la main, par exemple : « Bonjour, comment allez-vous, aujourd’hui ? Content de vous voir ? Le simple fait d’avoir fait l’effort de lui accorder de l’importance représente un dépôt dans son compte. Votre geste bienveillant alimente la confiance et le respect. Vous pouvez faire un dépôt en souriant à quelqu’un, en reconnaissant sa présence, en vous montrant amical et affable dans des circonstances tout à fait ordinaires. Quand vous faites un compliment, vous faites un dépôt. Dites à votre collègue de travail : « C’était une présentation remarquable. Tu as fait de l’excellent travail ; » Dites à votre mari : « Je te suis reconnaissante de ce que tu fais pour notre famille ». Dites à votre conjointe : « Tu rends notre vie tellement amusante. Quand vous agissez ainsi, vous ne faites pas seulement un compliment, vous faites un dépôt dans le compte conjoint que vous avez avec cette personne. A la maison, vous faites un dépôt dans votre compte émotionnel quand vous embrassez votre conjointe, vous faites un dépôt dans le compte de vos enfants en leur consacrant du temps. On peut aussi faire un dépôt en ne relevant pas une erreur ; c’est une méthode utilisée subtile, mais étonnamment efficace. Disons qu’un collègue se montre impoli et vous saute à la gorge pour une broutille. Plutôt que de lui rendre la pareille, ne réagissez pas. Le lendemain, lorsqu’il vous fait des excuses, répondez : « Ne dis rien. Je t’ai déjà pardonné. Je n’y ai même pas repensé. Je savais que ce n’était pas dans tes habitudes. Quand vous agissez ainsi, vous faites un dépôt très substantiel dans votre compte conjoint avec ce collègue. Et comment fait-on des retraits ? L’égoïsme est sans conteste la méthode la plus courante. Lorsqu’on pense uniquement à ce que l’on veut, à ce dont a besoin, on ponctionne inévitablement les ressources de ses comptes relationnels. On fait aussi des retraits quand on n’a pas de temps à consacrer aux autres.  Parmi les autres modes de retrait, mentionnons le refus de pardonner, le fait de ne pas tenir nos engagements, et le fait de ne pas exprimer notre appréciation là où elle est due.  Peut-être qu’on se donne du mal pour agir gentiment à votre égard, mais que vous le prenez pour acquis ; Vous ne remerciez pas l’autre, vous êtes trop occupé ou pis, vous vous croyez trop important pour dire : « Je te remercie de tes efforts’. Le manque d’appréciation des bontés de l’autre a toujours pour résultat de ponctionner le compte qu’on partage avec lui. Faites un dépôt avant un retrait. Chers amis, rappelez-vous ceci : si vous voulez marchez avec Dieu, connaître le succès dans votre vie chrétienne et votre ministère, il vous faut apprendre à oublier ! Apprenez donc à pardonner afin de recevoir le meilleur de Dieu dans la vie. Mettez en pratique ce qu’à fait Paul. Oubliez tout ce qui est derrière vous et courez « vers le but pour obtenir le prix de la vocation céleste de Dieu en Christ –Jésus « (Philippiens 3 :14). Cher(e ) ami(e ),après avoir fait chacun l’audit de nos relations hier jeudi 15 novembre 2012  et oublier ce qui est arrière, à partir de ce vendredi 16 novembre 2012, que chacun alimente son compte affectif (émotionnel ou conjoint) en commençant à faire un dépôt avant un retrait tout en apprenant à vivre  de manière équilibrée. L’équilibre, ça s’apprend (voir le rhemiste que je publie aujourd’hui, même mon site internet ).  Les trois secondes initiales d’une conversation déterminent l’heure qui suit. Il faut cinq charges positives pour invalider une charge négative, c’est-à-dire  quand vous réprimandez quelqu’un, assurez-vous de lui avoir fait cinq compliments au préalable. Sur un compte affectif, nous déposons le produit de nos relations humaines, notre confiance. Mettez en pratique la Parole et ne vous bornez pas à l’écouter (ou lire) (Jacques 1 :22). Bonjour, bonne journée, un bon sourire à celui que tu vois en premier aujourd’hui, etc « moi, et les enfants que l’Eternel m’a donnés, nous sommes des signes » (Esaie 8 :18). Exhortons-nous les uns les autres chaque jour.Que Dieu vous bénisse !

De la part du pasteur millionnaire, Coach Dr. Kapitao Mbombe, Top Leader.