Le Rhema du jour : « Tous ceux qui se trouvaient dans la détresse, qui avaient des créanciers, ou qui étaient mécontents, se rassemblèrent auprès de lui, et il devint leur chef. » (1 Samuel 22 :2). Dans toute église bibliquement constituée comme « l’amour triomphe toujours »,, il doit y avoir un conducteur, comme le pasteur principal Kapitao Mbombe, un homme non établi par d’autres hommes, mais suscité et qualifié par Dieu Lui-même. Il est nécessaire pour veiller sur le troupeau, le nourrir de la Parole de Dieu, et maintenir l’ordre et l’harmonie dans son sein. La Bible prévoit une sainte discipline qui, dans certains cas, s’impose et qui ne peut être appliquée que par le conducteur. Les membres du troupeau doivent toujours avoir pour eux « de la déférence, car ils veillent sur leur âme comme devant en rendre compte » (Hébreux 13 :17 ; 1 Thessaloniciens 5 :12-13 ; 1 Timothée 5 :17). Et c’est précisément parce que les conducteurs ont à cœur le bien des âmes et le souci du troupeau que la soumission et l’obéissance spirituelles sont recommandées aux brebis. Nous sommes en paix avec nous-mêmes lorsque nous rendons des comptes à une autorité supérieure. C’est l’un des raisons pour lesquelles je crois en l’église locale. Tout chrétien devrait être membre d’une congrégation locale et s’en remettre à ceux qui la dirigent. C’est effrayant de suivre quelqu’un qui n’est responsable de personne et croire qu’il est libre dans le Seigneur. Seul Dieu peut exercer ce genre de pouvoir et d’autorité. Le pasteur-enseignant Kapitao Mbombe,, dans l’exercice de son ministère, poursuivait un de ces objectifs, à savoir réunir des ministères selon Ephésiens 4 :11 et faire en sorte de sortir de cette notion du pasteur de l’église. Dieu a placé des ministères pour l’édification du corps de Christ (Ephésiens 4:11-12). Quand la possibilité ne se présente pas encore (aujourd’hui à la quinzième année de l’église, ça y est), il est bien de tout faire pour que les personnes trouvent leur appel et que des ministères sortent du milieu de nous pour que nous ne soyons pas seuls. Ce qui explique la reconnaissance de grâce de ce 08 mars 2013 après 15 d’existence de cette église locale. Il y a un danger à être seul ou à jouer à l’homme à tout faire, danger pour nous et pour l’église. Pour connaître du succès comme leader, découvrez les zones de force de vos gens et développez-les. Chaque fois que vous constatez que des gens s’acquittent bien de leur tâche, vous pouvez être certain qu’ils travaillent dans leur zone de force. Mais cela ne suffit pas pour avoir du succès en tant leader : vous devez aider les autres à découvrir leur propre zone de force et les équiper pour qu’ils soient en mesure d’y travailler. En fait, les meilleurs leaders se caractérisent par leur habileté à déceler les aptitudes particulières et les limites des autres, de même que par leur capacité d’affecter chacun à la tâche qu’il est susceptible d’accomplir le mieux. Le leadership n’est ni plus ni moins qu’une affaire d’influence. J’enseigne aux gens comment devenir de meilleurs leaders depuis plus de 5 ans, bien que je sois moi-même déjà une personne d’influence depuis 1995 (rappelez-vous de l’ancien des anciens). Notre but est d’aider les gens à accroître leur potentiel d’influence. Du fait que ma principale motivation était d’aider mes coéquipiers de l’église Rhema et de mon association confessionnelle qui réunit les serviteurs de Dieu « C.U.S », j’étais heureux de faire servir mon influence à quiconque me le demandait, sans condition et c’était une mauvaise décision de ma part. Je n’ai pas tardé à m’apercevoir jusqu’à présent avant le 8 mars 2013, que les gens ont profité de moi. J’entends par là d’abord qu’ils n’ont pas réussi à affirmer leur propre leadership malgré mon influence, ensuite parce qu’ils ont tenu mon influence pour acquis et enfin, ils se sont révélés incapables de contribuer à l’église et l’organisation (C.U.S.) en mettant leur influence au service des autres. Au bout du compte, j’ai découvert aujourd’hui que l’influence ne devrait jamais être « donnée », mais plutôt « prêtée ». C’est comme un investissement : vous êtes en droit d’en attendre un rendement. Si le rendement est pauvre, vous devriez investir votre argent ailleurs. Il serait insensé d’agir autrement. Maintenant que je vois les choses différemment, je me suis fixé certaines règles qui m’aident à « prêter » mon influence et cela sera déjà mis en application avec la reconnaissance de grâce de ce 8 mars 2013 à l’église « l’amour triomphe toujours » et prochainement à la C.U.S. Ces règles sont : 1) je ne « prêterai » pas mon influence à n’importe qui ; 2) Les « emprunteurs » devront rendre des comptes ; et 3) Je m’attends à un bon rendement sur mon « prêt ». Aujourd’hui, lorsque j’investis mon influence dans un leader potentiel comme cela se fera ce vendredi 08 mars 2013, je suis très prudent. J’observe longuement cette personne, lui pose un tas de questions et m’assure que les conditions soient claires : C’EST UN PRET ET NON UN DON. Alors, seulement, si tout se présente bien, je le fais avec plaisir de bonne grâce. Pourquoi ? Parce que c’est un investissement que je veux faire. . Après avoir poser des questions sur la personne avec qui faire le voyage vers le succès, vous pourrez chercher des gens que vous serez capable d’aider et qui, en retour vous aideront. Cela signifie, de découvrir les leaders potentiels. Les leaders potentiels sont susceptibles d’influer sur l’avenir. Un contrat de location pour leaders potentiels à définir est indispensable comprenant les éléments suivants : Je peux reconnaître votre grâce et vous devrez gagner le droit d’influencer. Je peux inciter les gens à vous suivre aujourd’hui et vous devrez les amener à vous suivre demain. L’influence que je mets à votre service est un prêt et non un don. Soyez reconnaissant et employez-la sagement. Procurez-moi un profit sur mon investissement, procurez aux autres un profit sur mon investissement et tirez pour vous-même un profit sur mon investissement. C’est ce qui sera d’application pour tout leader potentiel évêque, aspirants évêques ministres : pasteurs, prophètes ou prophétesses, évangélistes, anciens, diacres et tout autre leader-serviteur. N’oubliez pas que l’influence devrait être « prêtée », jamais « donnée ». Dieu est Celui qui choisit la personne qui recevra l’onction et Il dirigera le leader principal pour ce divin transfert : « Nul ne s’attribue cette dignité, s’il n’est appelé de Dieu, comme le fut Aaron » (Hébreux 5 :4). C’est par appel divin. Dieu a choisi l’homme qui avait servi Moise. Josué a été oint d’une part parce que Moïse lui imposa les mains, mais d’autre part parce que sa vie avait été fortement influencée par ce dernier (exemple de tous ceux dont je prierai ce vendredi 08 mars 2013 à l’occasion du 15ème anniversaire de l’église « l’amour triomphe toujours » dont l’ancienneté est éloquente). Et tout comme il faut un tueur de géant pour produire d’autres tueurs de géants, il faut un leader pour engendrer d’autres leaders. « Tous ceux qui se trouvaient dans la détresse, qui avaient des créanciers, ou qui étaient mécontents, se rassemblaient auprès de lui, et David devint leur chef. Ainsi se joignirent à lui environ quatre cents hommes » (1 Samuel 22 :2) ; 2 Samuel 23 :8, 18,20). David a traité les 600 hommes de la même manière attestant : « …La part doit être la même pour celui qui est descendu sur le champ de bataille que pour celui qui est resté près des bagages. Ensemble ils partageront … » (1 Samuel 30 :24). Voilà le modèle du leadership du coach Dr Kapitao Mbombe. Dieu ne récompense pas par rapport à la fonction qu’on exerce. Il récompense la fidélité : la fidélité envers Dieu, la fidélité et la loyauté à votre pasteur (père ou mentor spirituel) et votre église ; et la fidélité au service de l’œuvre de Dieu. En avance, la veille, je souhaite bon anniversaire du 15ème anniversaire de l’église l’amour triomphe toujours/Rhema, à tous mes amis lecteurs du rhema du jour partout dans le monde entier. Que Dieu vous bénisse !
De la part du pasteur millionnaire, Coach Dr. Kapitao Mbombe, Mentor !
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